Gottesdienst und Taufe mit Pfr. Gilbert GREINER Sonntag 25. Febr. 2024 10:00 / Gemeindehaus Soehnstetten
Gottesdienst und Taufe mit Pfr. Gilbert GREINERSonntag 25. Febr. 2024 10:00 / Gemeindehaus Soehnstetten                   

 

http://www.dna.fr/religions/2017/12/03/entrez-entrez

 

 

http://www.dna.fr/religions/2017/06/04/songe-d-une-nuit-d-ete

 

http://www.dna.fr/religions/2016/11/20/les-vrais-faux-discours

 

 


Au nom du Vivre Ensemble

Faites place à l’émotion.

Faites place à la beauté et aux artistes.

Et ce faisant, dites « non » à toutes ces perceptions mortifères de la religion et du religieux.

Il faudrait le crier haut et fort, le dire et le redire, encore et encore, face aux génocides, atrocités, ghettos de la mort d’hier et d’aujourd’hui… oui, face aux attentats : Dieu qui est Souffle de vie n’est en aucun cas générateur de mort ou de destruction ! Les credos chrétiens et textes bibliques le disent bien : Dieu est Créateur… du beau, du bon, de la pluralité et de la joie (Livre de la Genèse, chap. 1 et 2 – Évangile de Jean, chap. 2). Comment ne pas être consterné lorsque le « Nom… » est à ce point bafoué. Oui, semant, non pas la bonne parole – comme le demande le thème des cultes de ce dimanche Sexagésime – mais la terreur, des actes « sans nom » ont porté atteinte aux valeurs des démocrates et des croyants.

Mais face à cela, nous étions « debout » : la tuerie du 11e arrondissement de la capitale a occasionné un tsunami mondial d’émotion et de consternation. Au-delà des clivages, des frontières en tous genres, hommes, femmes et enfants (ici et ailleurs, ne l’oublions pas) ont exprimé leur attachement au démocratique, à la liberté… à l’expression. C’était beau et bon à voir.Ce n’était pas seulement un organe de presse, ni un pays meurtri, mais notre humanité profonde dans l’idée qu’elle se fait du démocratique et libéral à la base de notre vivre ensemble au sein d’une société plurielle. Le courage au service d’une expression vivante et libre Et dans cet être debout, les communautés de croyants se devaient de tenir leur place et d’apporter leur pierre citoyenne de sorte à redire face aux despotes religieux que la liberté d’opinion demeure primordiale. Oui, au nom du message de paix et d’ouverture de Jésus de Nazareth, en vers poétiques et contre tout, prônons ce qui est contraire à la terreur, à la fermeture, au légalisme et à la négation. Stimulons le courage au service d’une expression vivante et libre. Car Dieu est créateur et non pas négateur. Il insuffle la vie et non la mort ! Notre monde, afin de demeurer celui de l’altérité, a profondément besoin de ses coups de plume, pour composer dans la joie et l’émotion poèmes et chansons… À l’image du Messie, parler du Royaume dans le contexte actuel, nous amène à parler de l’alter-territé. Car notre belle et bonne Terre n’est jamais réservée aux uns seulement.

Elle est aux uns et aux autres. GG


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Adieu Tristesse !


En Dieu, jubilons de joie !
Jubiler, j’aime jubiler, être transporté de joie.

Il y a quelques semaines... ,
l’élection du nouveau pape m’a fait jubiler.
D’un instant à l’autre, c’était le printemps, l’espérance.
Je pensais au renouveau au sein de cette Eglise romaine
qui ferait du bien à l’ensemble du Corps christique.
Le choix du nom y était pour beaucoup.

François,
en référence à l’ermite d’Assise,

l’ami de l’humilité, des pauvres,
du dialogue avec le Créateur…
le patron des écologistes !

Avec lui, pourrions-nous espérer

un nouvel élan pour Vatican II,


Bâle et Justice, Paix et Sauvegarde de la Création ?

J’étais hors de moi.

Transporté par cet homme

d’Amérique latine
qui venait de demander humblement

au peuple rassemblé

d’intercéder pour lui et sa nouvelle mission.

Pour moi, du jamais vu !

Et encore il y a quelques jours avec la mise en place
de l’équipe de choc formée de huit cardinaux,
éventail représentatif de la catholicité.
Ce pape François est bien décidé à rénover

le gouvernement de l’Eglise,
terni par les scandales et de renforcer la collégialité.

Les huit élus seront avec lui pour le conseiller
sur les réformes et étudier un projet de révision
de la constitution sur la Curie menant à des fusions de services.
L’idée y provoque déjà non pas jubilations
mais irritations, inquiétudes et doutes.

A souligner deux sages parmi les sages, leur coordinateur,
un partisan des réformes sociales, président de
Caritas Internationalis, le cardinal Rodriguez Maradiaga,
ainsi que le cardinal capucin Sean O’Malley,
connu pour sa fermeté dans la lutte contre la pédophilie.

La Messe est dite !
Ce pape entend bien prendre des mesures concrètes

pour une Eglise autre.

Alors, question:

ce pape serait-il secrètement protestant?
Nous ferait-il redécouvrir et revivre l’Ecriture
et des passages forts du style :

si quelqu’un est en Christ,
il est une nouvelle créature?

Les choses anciennes sont passées ;
voici, toutes choses sont devenues nouvelles
(2e Lettre de Paul aux Corinthiens 5,17).

Oui, sûrement, à sa manière.
Du moins, nous ne pouvons que prier pour
et, dès à présent, jubiler !
Oui, ensemble, saluons
ces prémices de Printemps pascal
pour la chrétienté.
Et remettons-nous à la Jubilation,
celle qui transporte vers l’autre différent,
celle qui nous rend proche les uns des autres.
Que l’œcuménisme pratique

et de fait prophétique puisse revivre !

Regard Chrétien Chronique

 

 

LA PEUR OU

LA FORCE D'OUVERTURE A L'INCONNU

« L’Inconnu, assis à nos portes, nous inquiète...

Craintifs, nous préférons nous réfugier dans le Connu. 

L’Au-delà – du Connu - est source d’angoisse…

jusqu’à nous en faire perdre souffle et raison !

Le Christ en parlant de F.O.I.

vient à la rencontre des angoissés d’aujourd’hui...


GG

 


Les Aiguilleurs du ciel

Après les perturbations d'avril

liées au volcan islandais,

les questions comme « un vol pour quand ? »

ont repris du service.

En pleines vacances,

alors que bon nombre de familles

se réjouissaient de partir,

une grève des aiguilleurs du ciel
(la troisième cette année contre un projet européen
de fusion du contrôle aérien)

a provoqué mercredi annulations
et retards partout en France.

Les voyageurs qui comptaient
prendre l'avion ont dû, une fois de plus,

s'armer de patience.
Ah, la patience !

C'est la vertu qui nous manque le plus.
Mais Dieu -bibliquement « Le Patient »-
veut nous amener à l'acquérir.

La patience est cette vertu

quasi divine qui permet d'attendre
paisiblement l'accomplissement des choses espérées
et de supporter l'insupportable

(frustration, souffrance, épreuve,
adversité, personnes ou situations irritantes).
Elle n'est pas la résignation ; au contraire,
elle permet de persévérer,
de continuer à intercéder, à attendre, à travailler.
De manière confiante, elle tend vers le décollage.
Dans notre cas, elle permet d'attendre son vol
vers une terre espérée « où coulent le lait et le miel ».

Aux aiguilleurs du ciel, je préfère les chevaliers du ciel.
Les aventures de Tanguy et Laverdure
m'invitent aux rêves et aux baptêmes
de l'air, me font oublier

les grands gérants ou in-gérants,
ceux du business aérien

comme ceux des religions planétaires
qui au lieu de stimuler l'envie
de vacances ou de vie l'étouffent.
A vrai dire, peut-on vouloir aiguiller

ou contrôler le ciel ?
Il ne nous appartient nullement.

Il n'appartient ni aux religions,
ni aux grandes compagnies.

Le ciel est ciel comme Dieu est Dieu.
En tant qu'humain

je suis fils et fille de l'envol

(Khalil Gibran).
 

Je suis libre de mes faits et gestes et non esclave
du bon vouloir de certains.
Je n'ai aucune envie de ressembler à cette mariée
kidnappée lors de la soirée
de noces. Des vacances (et donc des rêves de trêves)
préparées avec minutie
et depuis longtemps ne peuvent d'un instant à l'autre
s'envoler en fumée !



En mai, fais ce qui te plaît…

J’aime cet adage !

Faire ce qui me plaît :
flâner, respirer,
ne pas être de manière déconnecté devant mes écrans,
observer le ciel et les nuages qui passent,
me reposer sur un banc.

En sorte : être moi-même, surtout,
ne pas courir derrière quelque leader ou patron que ce soit.
Mai rime avec son, avec poésie.
Au fond de mon verger, me viennent

ces paroles du chansonnier Sylvain Piron :

Je veux poser mon jardin, ma demeure,
sur le rocher bienveillant de ta tendresse,

planter ton nom
dans le fond de mon cœur.

C’est tellement beau de se poser !
Et puis… chanter, chanter et encore chanter.

En ce dimanche Cantate,

entendre vibrer de mille manières

son propre corps trop longtemps

mis en sourdine par cet hiver sans fin.

Elles sont belles les compositions pour ce mois-ci.

Je me souviens avec plaisir de cet extrait appris
il y a fort longtemps :

Joli vent du mois de mai nous porte la trêve.

Suivons plus loin le chemin,
c’est le chemin de la paix dont les enfants rêvent.

C’est évident mai rime avec Paix.
Qui cherche la vie ne peut vouloir la détruire.
La terre de mai ne saurait être un champ de bataille.

Elle est celle des artistes,
des poètes et des musiciens.

Elle conte la vie et la soigne.

 


Mai encore…

Ce temps est aussi celui des symboles qui muent.

En avril 1941, Pétain, instaure le 1er mai
comme fête du Travail et de la Concorde sociale.
L’églantine rouge, associée à la gauche, est remplacée par
le muguet. De nos jours, même si cette plante s’avère toxique

et s’il faille se méfier des clochettes odorantes,
le symbole devrait néanmoins être repris
par les mouvements écologistes.

En zone européenne tempérée,
en forêt, là où sa présence est naturelle,
il serait un bon bio-indicateur d'ancienneté
et de naturalité. Sa vente, un 1er mai,
donnerait l’occasion aux militants de défendre
cette terre en vert et contre tout.

Cette fleur bien fragile pourrait bien être également

symbole de la précarité actuelle.

Le fossé se creuse de plus en plus entre riches et pauvres.

Cette crise fait grandir les fragilités
et accentue l’exclusion. Beaucoup se font cueillir
et perdent socialement racine.

Il devient primordial de vivre
à fleur de peau (de ne pas faire pot de fleur),
de s’engager résolument
aux côtés des plus pauvres qui se font piétiner
par ceux qui, aveuglés par le profit,
se promènent dans les terroirs de la vie sans rien voir.

GG



Parce que vous les valez bien !

Mérite, mériter, méritant, méritoire... ces déclinaisons sont d'actualité !
Suite au séisme en Haïti, la mobilisation est générale.
En cette période de l'unité, les querelles de clochers oubliées,
l'oecuménisme devient pratique. Les dogmatismes séparateurs autour
du repas du Christ mis de côté pour faire place aux restos du choeur.

Les paroles du Christ « Donnez-leur vous-mêmes à manger. » (Marc 6,37)
à nouveau prises au sérieux, associations de tous bords déploient leur dispositif d'urgence.
Localement individus et groupes tentent de récolter quelques sous afin de pouvoir soutenir les organismes sur place.
Chapeau bas à tous ces méritants de l'ombre, petits et grands, vendeurs de brioches ou organisateurs de concerts... venant au secours de ceux qui à présent, tel le Fils de l'homme, n'ont plus d'endroit où reposer leur tête (Matthieu 8, 19-22). Chapeau bas à ceux qui ont hâté les adoptions !

Face à des crèches démolies, des enfants manquant de tout, il faut réagir et réagir vite, faire place à la flexibilité pratique souvent absente au niveau des administrations ! On ne peut laisser dormir des enfants à même le sol, entassés, sans secours. Laissons venir à nous les enfants de Haïti et que personne ne les en empêche... (Marc 10, 13-16).

Avoir du mérite, avec cette crise humanitaire, l'expression aura retrouvé son sens ! Tous ces bénévoles, de par leur engagement gratuit, l'auront remise à l'honneur. Pour un temps, elle sera bien plus qu'une expression bassement pécuniaire. Pendant un moment, on parlera non de salaire au mérite mais de dévouement méritant gratuit. On oubliera performances (1 Cor. 9,24-27), distinctions et Légions d'honneur ! Car le mérite ou ce qui rend quelque chose ou quelqu'un digne d'estime devrait de manière constante exprimer la grandeur ou la qualité morale des personnes ou des peuples dont on discourt

Mais, comme le souligne Yves Michaud dans son ouvrage, Qu'est ce que le mérite ?, rien que l'expression éveille méfiance et questionnement. Tel avancement était-il vraiment justifié ? Barack Obama méritait-il son prix Nobel de la paix...? D'ailleurs, dans nos société! s globalisées, réussite et échec étant liés au contexte, peut-on encore parler de sujets méritants ? Quelle est la part réelle de réussite personnelle d'un chef d'Etat? Que peut l'individu dans un groupe ? Un entraîneur au sein d'une équipe sportive ? Alors, tous méritants ?

A cause la foule... Les Protestants au Zénith !

Le week-end dernier se tenait à Strasbourg

le premier rassemblement protestant national.

 

Petit retour sur l’événement initié par la Fédération protestante de France avec le concours de l'Union des Églises protestantes d'Alsace et de Lorraine.

Ensoleillé, il fut à la hauteur des célèbres Kirchentage outre-Rhin.

Pari gagné quant à l’objectif de donner une visibilité au protestantisme français et de permettre à ses différentes familles de se rencontrer.

Le temps d’un VSD, la capitale alsacienne accueillait plus de 15.000 participants venus des quatre coins de l’Hexagone.

Dès vendredi soir, comme pour débuter un shabbat de Fête,

table ronde, forums, conférences, spectacles…

et expositions animaient le centre ville

transformé en foire de l’engagement solidaire protestant.

La place Kléber noire de monde,

le rêve des responsables du protestantisme français s’accomplissait…

C’était le Zénith!

Justement, le lendemain,

dès 16H, c’était ce dernier qui devenait pôle d’attraction

à travers une soirée spectacle multicolore.

Que du baume au cœur !

Au-delà des petits couacs liés au succès de l’entreprise (Marc 2, 4), le dimanche matin avec son méga culte retransmis au PMC, ses 1200 choristes… dépassa toutes les attentes. Vive l’audace !

Claude Baty, justement, invita à ne pas craindre l'audace du christianisme : « Ne restons pas dans un attentisme égoïste au milieu de la crise économique et financière, ne craignons pas de rappeler des choses simples sur la justice et l'honnêteté ! » Oui, l’événement fut de grande envergure, protestant et populaire, une parabole de la gratuité de la grâce.

UN ICEBERG DANS LA VILLE

Heureusement que les ours blancs n’étaient pas là pour voir ça…

J’imagine la scène. Drôle d’objet flottant non identifié sur le fleuve de la capitale tricolore! De quoi, en tous cas, rougir de colère malgré les timides couleurs estivales! La dernière opération coup de poing de Greenpeace à Paris : un iceberg sur la Seine a jeté un froid. A moins d’être de marbre, comme certains, c’était la douche écossaise comme pour les coureurs du Tour à Colmar.

L'idée de l’organisation internationale de protection de l'environnement de faire dériver durant la journée du 8 juillet - devant les regards interloqués des flâneurs et des badauds - un iceberg gonflable de 16 mètres de haut à deux pas de la Tour Eiffel fut pour le moins originale. L’événement, organisé dans le cadre de la rencontre à Aquila, en Italie, des huit plus grandes puissances économiques et, par extension, des huit plus importants pollueurs mondiaux, pour signifier la liquidation des glaces dût à la crise climatique et pour figurer sa conséquence sur l'environnement, fut digne des meilleurs metteurs en scène. L’objectif de sensibiliser l’opinion publique à l’approche de Copenhague -échéance incontournable en terme d’alternance énergétique et d’engagement en faveur de la réduction des émissions à effet de serre - fut sans nul doute atteint. Un iceberg, le signe est "titaniquement" fort! La Seine ne sera plus jamais un long fleuve tranquille.

Mais, plus intimement, en ce dimanche des gérants des biens de Dieu, (9 /08) prenons le symbole également à notre compte. Il est vrai que nos vies sont semblables à des icebergs. Souvent nos poids, nos charges, nos lourdeurs dont nous sommes invités à nous défaire (Matthieu 11,28) - mais dont personne ne sait rien ou ne veut rien savoir – sont enfouis sous les flots de notre quotidien.

Des montagnes de sueur froide - neuf dixièmes d’existence - et pourtant !

Dans quelques semaines, au moment de la reprise annuelle, lorsque nous serons à nouveau en route vers de nouveaux horizons, souvenons-nous de ceux qui nous sont confiés. Faisons émerger les charismes dans toutes leurs différences. Il ne suffit pas d’affirmer notre baptême pour que cela change quelque chose dans nos vies ou dans nos assemblées qui d’ailleurs ne se limitent pas à la partie émergée ou visible! De l’iceberg ecclésial, beaucoup trop enfoui pour que le commun des mortels puisse s’en sortir, émergeons l’immergé.

LE LUNDI A VELO !

Depuis peu, je me suis remis à la bicyclette !

L’occasion pour moi, de faire travailler davantage mes jambes afin de gagner en muscles quelque peu perdus au cours de ses décennies d’oisiveté sportive, ou encore de perdre quelques kilos largement superflus, là accumulés depuis l’achat de ma fameuse R14. Le poids des années se fait déjà sentir ! De plus, et pourquoi pas, si déjà on y est, faire un peu de sport pour rétablir le poids du porte-monnaie. Gagner plus, en consommant moins d’énergie et surtout d’euros ! Au prix du carburant à la pompe, il nous faut réagir… Avec ou sans formation comptable en poche, pour ne pas ou ne plus pédaler dans la choucroute du financement, si ce n’est de l’endettement, la devise du consommateur alsacien doit être la même « à vos bicyclettes citoyens ». C’est pas chinois. Il y a un temps pour tout sous le soleil, nous disait le philosophe biblique (Ecclésiaste 3). Il n’y plus de temps à perdre, découvrez votre programme de remise en forme perso. Je vous préviens, ça va faire un tabac ! Mère-Nature, non plus, ne s’en plaindra pas.

Avec quelques voitures en moins sur les quais, on respire. D’ailleurs, c’est pour quand la journée alsacienne sans 4x4 ? Il y aurait de place sur les trottoirs. On pourrait pousser la chansonnette : « le lundi à vélo ! ». Mais en attendant, avant de découvrir un Strasbourg libéré, rêvons un temps soit peu en paraphrasant Luther King, dans l’esprit de Claire Morissette connue pour ses luttes pour la promotion du cyclisme :

Aujourd'hui, dans les rues de la capitale alsacienne,
j'affirme avec audace ma foi dans l'avenir des 2 roues.

Je refuse de croire que les circonstances actuelles nous rendent incapables de réagir, que l'automobiliste ne soit qu'un fétu de paille ballotté par le courant du prix du carburant, sans avoir la possibilité de l’influencer en quoi que ce soit.

Je refuse de faire mienne les prédictions cyniques de chiffres à la hausse.Je crois qu’un jour tous les cyclistes, dans les campagnes alsaciennes les plus reculées, trouveront des pistes cyclables dignes de ce nom. Plus personne n’aura besoin d’avoir peur en prenant la route. Je crois fermement que le vélo l'emportera.

A vrai dire la bicyclette, c’est tellement bien.
Moi je love mon vélo.

Sur mon site, j’ai choisi d’y figurer avec… ma bicyclette!


http://www.dna.fr/fr/france/info/4427942

Pfarrer

Gilbert A. Greiner

Kirchstr. 27

89555 Söhnstetten